Blog ERVS
Cet espace est dédié aux billets - Vous pouvez retrouver les transmissions-vidéos sur ma chaîne YouTube
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La physique quantique par Gregg Braden
- Le Ven 20 fév 2015
Interview de Gregg Braden, ingénieur physicien en aérospatiale et chercheur réconciliant les savoirs spirituels ancestraux avec les avancées les plus récentes de la nouvelle science qu'est la physique quantique
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2015 - Unique !
- Le Ven 02 jan 2015
Que 2015 soit, pour Vous et vos proches, une année riche d'éclat, d'énergie, de plaisir.
Une année souriante baignée de Joie et de Gratitude !2015 sera t-elle, pour Vous, un simple changement de date sur un calendrier ou une année créative ?
Une année où vous allez vous donner la permission - et les moyens - de nourrir les projets qui vous tiennent à coeur, d'avancer vers Qui vous êtes vraiment ?
Car c'est de cela dont nous avons besoin : de votre Unicité !
Alors faites la différence en Vous et autour de Vous
En vous connectant à votre pouvoir intérieur, à votre puissance créatrice, ce sont vos talents et vos valeurs que vous vibrez et partagez
Nous sommes tous uniques - Nous avons tous quelque chose à offrir
Que 2015 soit l'année de votre Potentiel ! -
Les chakras, c'est quoi ?
- Le Lun 22 sept 2014
Une animation simple et ludique à propos des chakras, ces roues / centres énergétiques essentiels pour chacun d'entre nous en matière d'équilibre, de bien - être, de vitalité, de santé...
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Séance énergétique, comment ça se passe ?
- Le Lun 25 août 2014
Ou plus exactement, "qu'est - ce qui se passe pour vous ? " me demande t-on souvent...
Je ne peux répondre que pour moi, bien évidemment car d'un praticien à l'autre, les ressentis, le vécu sont différents.
Et ils ne sont pas les mêmes s'il s'agit d'une séance en présentiel ou à distance. Sur un soin où la personne est présente face à moi, les ressentis sont plutôt de l'ordre physique, c'est - à - dire dans mon corps. Je ressens aussi les variations dans la demande d'énergie chez le receveur. Parfois, des sensations de type plus émotionnels. En fait, cela varie d'une personne à l'autre et même d'une séance à l'autre. Les ressentis peuvent être différents pour la personne et pour moi : elle peut ressentir un mieux - être alors que de mon côté, j'ai eu une sensation de tristesse.Tout simplement, parce qu'avec le Reiki, je suis allée dans d'autres couches souvent enfouies, inconscientes. Ce qui en permet d'ailleurs la libération.
Et parce que, si autorisée, j'entre en contact avec votre thérapeute intérieur. Cette part de vous qui connaît la racine de la souffrance, du mal être. Ceci se fait dans une sorte de télépathie dont je vous livre ensuite les informations.
Pour le soin à distance, c'est la même chose. Avec en plus, très souvent, des images. Du visuel plutôt d'ordre symbolique. Comme une parabole. Des informations qui ont trait, de près ou de loin, à la question traitée. Parfois, c'est quelquechose que le receveur va ressentir ou vivre plus tard, dans les jours ou semaines à venir.
Prenons un exemple :
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Lâcher - prise
- Le Lun 14 juil 2014
Combien d'articles, de livres, de méthodes, de conseils, de contes et paraboles sur le lâcher - prise ? Parvenir au lâcher - prise, c'est quasiment trouver le Graal. La clé de la paix intérieure et donc de la liberté.
On sait bien qu'il convient d'être ici et maintenant donc pas à ressasser un passé révolu ou projeté dans un futur non encore matérialisé (sauf dans notre esprit...). Ou encore d'accepter ses limites et donc de renoncer à son besoin de contrôle, à sa toute - puissance en somme. C'est accepter l'autre dans ses différences.
Lâcher dans son corps puis ses émotions. Laisser partir... Plus facile sur le papier que dans la vie.
Se demander "qu'est ce que cela change à la situation que je m'inquiète, ressasse, m'agrippe ?" ou se dire "est - ce que je me souviendrai de cet évènement dans 5 ans ? Non. Alors passe dès aujourd'hui à autre chose !"
C'est l'image d'un grand saut dans le vide avec la confiance, l'absolue confiance qu'en bas un matelas doux et moëlleux nous y attend. Ou que s'il n'y est pas (!), on a toutes les ressources pour rebondir. Celle encore d'une embarcation suivant le flot bienveillant d'une rivière, comme le courant de la Vie.
Tout ceci peut être très aidant. Et si pendant 2h, 2 jours, 2 semaines, on a réussi à lâcher - prise, alors c'est déjà une belle victoire !
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Merci
- Le Jeu 12 juin 2014
Une envie ou plutôt un élan à dire MERCI ! Ce Merci, je l'adresse aujourd'hui à toutes les personnes qui effectuent avec moi un travail énergétique.
Oh parfois, il n'y a pas une demande spécifique quant à l'outil. C'est vrai, le Reiki, c'est quoi ?... C'est juste que quelquechose ne va pas - physiquement, émotionnellement -, les encombre, ressurgit d'un passé que l'on croyait bien verrouillé. Elles ont toutes en commun de vouloir aller mieux, de vouloir vraiment avancer. Ah, ça, ça me plaît !...
Ces personnes sont aussi toutes différentes : il y a là un problème récurrent de migraine ou une difficulté avec son image, ou bien encore des difficultés relationnelles, une estime de soi dégradée, une blessure fondée dans l'enfance, un traumatisme, des abus, du harcèlement, une douleur au pied qui résiste, du stress, un burn out pas bien loin, et aussi revenir d'un clap de fin souhaité et qui n'a pas eu lieu.
Ya pas vraiment besoin de tout dire en énergétique, surtout si c'est douloureux. Ni même de revivre les évènements. Souvent, les choses se passent plus en douceur, plus dans la subtilité. Comme dissoute par l'énergie qui va là où besoin. D'ailleurs, certains "cartésiens" (qui se reconnaîtront) peinent à faire le lien entre le soin et un changement qui parfois, se produit au bout de plusieurs jours. Car oui, le Reiki n'est pas une aspirine à l'effet instantané, une sorte de baguette magique. Cela demande d'être pleinement co - acteur de sa guérison et aussi, parfois, un peu de temps.
Alors pourquoi ai - je envie de dire Merci ? ...
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Laisser passer la vague...
- Le Sam 24 mai 2014
Parfois, nous retrouvons aux prises avec nos émotions. Comme des lames de fonds, elles surgissent et peuvent même nous envahir. Quelquefois, elles sont directement rattachées à une situation, à une épreuve, quelquefois, l'expression d'un mal - être diffus, peut être plus ancien, enfoui dans nos profondeurs intérieures.
Alors, bien sûr, il est sage d'entendre le message de nos émotions. Comme je l'ai déjà écrit, elles sont comme un clignotant sur le tableau de bord de notre voiture. Il est même opportun, quand la douleur est vive, de se faire accompagner.
Simplement, parfois, la seule chose à faire, c'est de laisser couler la douleur. J'ai envie de prendre l'image d'une vague déferlante, d'une mer déchaînée qui vient frapper contre une digue. Cette digue, c'est toutes ces stratégies, toutes ces résistances que nous mettons en place pour faire face, tenir debout quand la houle est forte. "Tout ce à quoi on résiste persiste" dit -on. Et d'ailleurs, vous l'avez peut être remarqué, la vague revient plus forte, surgit autrement, la digue commence alors à montrer des signes de faiblesse. La vague veut passer et elle finira par passer. Sous une forme ou sous une autre (combien de maux ont une origine émotionnelle ?).
En vérité, nous résistons parce que nous nous voulons forts, parce que nous nous sentons aussi coupables de ne pas pouvoir dépasser cette douleur qui nous étreint, nous assaille . Mais surtout, nous résistons car nous avons peur. A la souffrance initiale, se rajoute insidieusement la peur de souffrir davantage si nous lâchons. La peur d'être submergé, voire emporté par la vague de la douleur. C'est ce que me disait une amie que j'invitais à laisser s'écouler sa peine pour ne pas lui permettre de s'agripper et de perdurer : "si je le faisais, je partirais avec elle". C'est une sensation que nous avons certainement tous vécu : la peur d'ouvrir le barrage et de laisser couler la vague, la peur d'être dépassé, de perdre le contrôle en somme.
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Le miroir
- Le Lun 12 mai 2014
J'ai envie de relayer ici un outil de Lise Bourbeau que je trouve vraiment intéressant par la démarche d'introspection qu'il amène à faire et aussi par la compassion qu'il peut générer. Il s'agit du Miroir. Et en voici la synthèse :
- Notez une situation dérangeante et récurrente dans une relation
- Dans cette situation, demandez - vous : "qu'est ce que je reproche à l'autre ?" Et focalisez - vous sur l'être et non sur les comportements ( si si, différent de d'habitude, je sais) - Ex : il EST égoïste
- Retournez le miroir : "dans quelles circonstances, situations, l'autre pourrait me faire le même reproche ?" Cela peut être des contextes différents (travail alors que situation initiale plutôt dans le champ privé). Même si l'ego va répondre spontanément "mais non, moi, je ne le suis pas", y a une situation où c'est le cas alors cherchez bien...
- Découvrez quelle est votre peur pour VOUS - MEME ( et non pour les autres) dans cette situation - Et demandez - vous "comment je me sens ?"
- "Dans cette situation où je me comporte comme ce que je reproche à l'autre, quelle est ma motivation, mon intention ? Quel est mon besoin fondamental ?"
Pour être encore plus concret, prenons un exemple : ... -
Et si nous faisions un tour au potager ?...
- Le Dim 20 avr 2014
Nous avons tous vécu des situations que nous ressentions comme bloquées. C'est vrai, on a travaillé sur tel projet, on a mis beaucoup de nous - même dans un objectif, une relation. Et rien, rien ne se passe et nous voilà pris d'une folle impatience, d'une frustration grandissante, d'une amorce de sentiment d'injustice. Ca vous dit sûrement quelquechose...
Alors, comme le printemps explose tout autour de nous, j'ai envie de faire le parallèle avec le potager.
Tous ceux d'entre vous qui se sont attelés à cette merveilleuse aventure savent qu'il faut d'abord labourer, préparer le terrain avant de pouvoir semer pour enfin récolter. Souvent des mois plus tard. Et si les circonstances extérieures nous accompagnent favorablement.
Alors, aller gratouiller la terre pour voir si la graine a bien pris ne ferait que retarder le processus voire pourrait le détruire. Aller tirer sur les feuilles naissantes pour qu'elles poussent plus vite n'engendreraient guère plus de résultats...
Tout processus de gestation a besoin de temps. Comparable à une grossesse. Demande t- on à un bébé de venir plus vite juste parce qu'on est impatient de faire sa connaissance ? Non. Enfin quoique. La médecine nous permet aujourd'hui beaucoup. Ceci dit, la nature est facétieuse. Cela me fait penser à une amie qui avait tout prévu concernant la date de la mise au monde de son enfant. Ce dernier a simplement décidé d'offrir 15 jours d'avance à sa jolie maman...
Bien sûr, je ne suis pas en train de vous inviter à la passivité. Non ! Simplement, quand vous avez agi, êtes allés au bout de toutes les actions possibles au regard de vos ressources et du contexte, quand vous l'avez fait avec détermination, confiance et amour, que reste t-il ? Si ce n'est lâcher votre besoin de contrôle et laisser faire. Laisser la nature se déployer en somme. Accepter aussi que si vous vous attendiez à récolter des tomates Roma, peut être surgira t-il des tomates Noire de Crimée ou Ananas.
Le plus important, c'est bien le chemin à savoir votre implication et le don de vous - même tout au long du processus. Quant au résultat, à la récolte, eh bien, je vous invite alors à remercier, à exprimer de la gratitude. Je vous souhaite de lumineux moments de plaisir dans votre potager...
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Ah les ateliers...
- Le Dim 30 mars 2014
Hier, j'animais une nouvelle édition de mon atelier "Renforcer son estime de soi" et c'est toujours un pur bonheur pour moi.
D'abord, parce qu'il y a quelque chose de presque sacré à voir ces personnes faire ce pas vers elles -mêmes. Oh bien sûr, il est amusant, voire attendrissant, de constater combien certains érigent des obstacles (retards, pannes...), comme autant de manifestations de leur résistance au changement. Car oui, se rapprocher de soi peut faire peur. Sortir de sa zone de confort, enfin d'un confort de plus en plus inconfortable, hum pas toujours facile. Car parfois un inconfort connu vaut mieux qu'un confort inconnu. En tout cas jusqu'à ce qu'on soit prêt.
Quoi qu'il en soit, qu'il est bon de voir ces personnes se lancer, dépasser leurs freins, avoir des déclics, passer à l'action ! Parfois, à la fin d'un atelier, je note, avec ravissement, presque une transformation physique de la personne. Quelqu'un qui avait du mal à s'exprimer se montre déterminé, quelqu'un de discret à la limite de l'introversion retrouve le chemin de son affirmation de soi.
Car finalement, le plus important, le plus précieux, c'est ce qu'il se passe après l'atelier. Dans la "vraie" vie. Certains auront besoin de poursuivre par un accompagnement personnalisé, d'autres seront déjà prêts, d'autres encore prendront ce dont ils ont besoin, parfois de manière mesurée. Peu importe, chacun le fait avec le niveau de conscience qu'il a à ce moment là.
Et quand bien même le sol est aride, ce qui est merveilleux, c'est que la fleur trouve le chemin, la force pour naître, éclore et offrir ce qu'elle est vraiment.
Merci à tous les participants passés et à venir.
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Dans la ronde, nous aussi...
- Le Sam 15 mars 2014
Je suis toujours amusée des réactions étonnées quant au fait que les coaches, thérapeutes et autres praticiens de l'accompagnement vivent des situations comme Monsieur et Madame Toutlemonde. Comment si nous étions des sortes d'extra - terrestres, d'êtres supérieurs dotés d'une conscience nous mettant définitivement à l'abri des affres de la vie...
Comment donc ? : vous doutez parfois ? Et puis, vous divorcez aussi ? Vous avez des problèmes de voisinage ? Votre ado fait sa "crise" d'ado ? Non, mais tout fout le camp ! Où va t-on si vous aussi... ?...
La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Non, nous ne sommes pas imperméables et ne passons pas toujours à travers les gouttes. Simplement, ce qui est différent quand on a fait un travail sur soi, c'est tout d'abord le déclic, la conscience de ce qui se passe, se joue là. Ensuite, l'interprétation, le sens, la coloration que nous allons donner à la situation auront une autre dimension car on sait que là se trouve LA clé de tout ce qui va s'enclencher derrière puisque, selon le regard que l'on pose sur tel évènement, ce que l'on ressent et ce que l'on fait sera différent.
On sait aussi les bienfaits des émotions, qu'il convient de prendre en compte, comme on le fait quand des voyants s'allument sur le tableau de bord de notre voiture. Enfin, on va piocher dans notre boîte à outils. Et si l'on en a plusieurs, c'est mieux car comme l'a écrit Maslow "à celui qui n'a qu'un marteau, tous les problèmes sont des clous" alors que parfois c'est d'une tenaille, d'une pince ou d'un rabot dont on a besoin.
Et puis, tout ceci nous rapproche considérablement de vous. Quand on a vécu, ressenti viscéralement, la compréhension n'est - elle pas facilitée ? Plutôt rassurant, non ?
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La communication est partout...
- Le Ven 28 fév 2014
Il est clair qu'on ne peut pas ne pas communiquer. D'ailleurs, même le silence est une forme de communication. Communiquer, OK mais comment le fait -on ?
J'ai eu à vivre, ces dernières semaines, la situation douloureuse de l'hospitalisation brutale d'un proche. On se retrouve dans ces moments - là dans une forme de vulnérabilité. Et donc avec un besoin d'être rassuré. Ou tout du moins d'avoir des informations. Si les équipes médicales font un travail formidable, auquel je rends grâce tant j'y porte de l'admiration, je sais aussi que communiquer ne fait pas toujours partie de leurs boîtes à outils. D'abord, parce que y a un temps pour l'urgence et un temps pour le débrief. Aussi parce que si certains ont cette inclinaison, cette facilité à communiquer, d'autres en sont dépourvus et que cela ne peut être compensé par un apprentissage qui ne fait, la plupart du temps, pas partie du cursus.
Alors, nous voilà, les uns et les autres, bien démunis : le patient et ses proches dans l'attente, l'angoisse aussi, la frustration pouvant parfois tourner en tension ET certains intervenants médicaux qui n'ont pas toujours la conscience de dire - même que pour le moment ils ne savent pas, qu'il faut attendre - ou qui n'ont pas, ne trouvent pas les mots. Ou pire se protègent en érigeant un détachement relatant du factuel froid et distancié, passant ainsi à côté des trésors et des bienfaits de l'empathie. Empathie pour eux - mêmes, d'abord et empathie pour autrui.
Alors, je me dis que la communication authentique et bienveillante a de beaux jours devant elle. Alors, que cette infime goutte d'eau que j'essaie d'apporter, au travers de mon métier, a du sens.
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Accepter
- Le Mar 28 jan 2014
"Donne - moi la sérénité d'accepter ce qui ne peut pas être changé, La force de changer ce qui peut l'être, Et la lucidité pour distinguer l'un et l'autre" Marc Aurèle
Accepter, c'est dire OUI à ce qui est. Travailler avec ce qui est comme si nous l'avions choisi. En disant NON, nous nous positionnons en victimes, nous donnons notre pouvoir aux autres, aux évènements extérieurs. Par l'acceptation, nous affirmons notre pouvoir et nous conservons notre capacité à apprendre et à évoluer.
"Qu'est ce qui serait plus insensé que de créer une résistance à ce qui est déjà ?" Eckart Tolle
Et avez - vous remarqué ? : quand nous prenons acte, quand nous acceptons alors bien souvent les choses se débloquent...
Tout ce à quoi on résiste persiste, non ?
Quelles sont les situations sur lesquelles vous avez résisté ? Quel en a été le résultat ?
Quelles sont les situations que vous avez accepté pleinement ? Qu'avez - vous ressenti ? Quelles conséquences ?
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La Communication Bienveillante
- Le Lun 13 jan 2014
Un exemple avec les enfants... Pour plus d'inspiration c'est par ici
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Trêve de Noël et Pardon
- Le Dim 22 déc 2013
Parce que Noël est synonyme de trêve, il m'est revenu en tête ce conte sur le pardon...
"Deux amis marchaient dans le désert. A un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable : "Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle". Ils continuèrent leur marche et trouvèrent une oasis avec un plan d’eau dans lequel ils décidèrent de se baigner.
Celui qui avait été giflé ne savait pas bien nager, manqua de se noyer, mais son ami le sauva. Après avoir retrouvé ses esprits, il écrivit sur une pierre plate : "Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie".
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : "Quand je t'ai giflé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.
Pourquoi cela ?" L'autre ami répondit: ...
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Lancement de ma chaîne YouTube
- Le Sam 14 déc 2013
Retrouvez - moi en vidéo sur YouTube ! Voici les 3 premières... Par ici
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Ubuntu
- Le Sam 07 déc 2013
J'ai déjà écrit mon admiration pour Nelson Mandela à travers le texte reprenant son discours d'investiture de 1994. Alors, ici, je vous livre l'histoire d'Ubuntu. Ubuntu est une notion liée à l'histoire de l'apartheid. Comme le disait Desmond Tutu, prix Nobel de la paix, "Quelqu'un d'ubuntu est ouvert et disponible pour les autres, dévoué aux autres, ne se sent pas menacé parce que les autres sont capables et bons car il ou elle possède sa propre estime de soi — qui vient de la connaissance qu'il ou elle a d'appartenir à quelque chose de plus grand — et qu'il ou elle est diminué quand les autres sont diminués ou humiliés, quand les autres sont torturés ou opprimés. ».
Un anthropologue a proposé un peu à des enfants d'une tribu africaine. Il mit un panier de fruits près d'un arbre et leur dit que le premier arrivé gagnerait tous les fruits. Au signal, tous les enfants se sont élancés en même temps... en se donnant la main ! Puis ils se sont assis ensemble pour profiter de leur récompense.
Lorsque l'anthropologue leur a demandé pourquoi ils avaient agi ainsi alors que l'un d'entre eux aurait pu avoir tous les fruits, ils ont répondu : ...